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les news du 82

3 octobre 2012

voleur ou echapée

                                                 AU collège Manuelle Azania

 

 

 

Gabriel Manzoni et son frère se son échappés du collège grâce à la barrière de l’école de  1m45.

Le collège a appelé la gendarmerie et les policiers, qui les a finalement retrouvée chez eux a 17h.

Ces élève vont avoir 2 heures de retenue Mercredi 6 Octobre 03-10-2012

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3 octobre 2012

incendit

 

Avenue des Minimes, le feu est parti du restaurant et a détruit tout l'immeuble hier matin./ Photo DDM, T. B. - Tous droits réservés. Copie interdite.
Avenue des Minimes, le feu est parti du restaurant et a détruit tout l'immeuble hier matin./ Photo DDM, T. B. () 

Avenue des Minimes, le feu est parti du restaurant et a détruit tout l'immeuble hier matin./ Photo DDM, T. B.

Toute la journée d'hier, la circulation a été perturbée dans le secteur des Minimes, à Toulouse. La faute à un violent incendie qui a éclaté vers 4 h 15, au 120 de l'avenue, à l'angle de la rue Baqué dans un immeuble qui abritait un restaurant africain, le Monogaga Louge, une boucherie halal et plusieurs appartements. Le feu serait parti du restaurant, et pas de manière accidentelle. C'est en tout cas le sentiment des policiers. Sur place ils ont eu la surprise de découvrir à proximité de l'immeuble sinistré une voiture avec, à l'intérieur, des bidons vides. Contenaient-ils de l'essence ? «Probable», lâche un proche du dossier. Le propriétaire du véhicule était activement recherché hier. Un témoin aurait également aperçu après l'explosion, violente, un homme s'éloigner, visiblement sonné. Cet individu est-il celui qui a allumé le feu ? L'hypothèse était prise très au sérieux hier du côté de la sûreté départementale, en charge des investigations. Il pourrait également s'agir du propriétaire du véhicule.

Cet incendie, parti du restaurant africain dont la grille de protection a été soufflé de l'autre côté de l'avenue par le souffle de l'explosion (!) s'est rapidement propagé à la boucherie situe à côté et surtout aux appartements de l'immeuble, piégeant les locataires. Deux ont trouvé refuge sur le balcon du 1er étage, et deux jeunes femmes, des étudiantes qui vivaient sous les combles, se sont retrouvées bloquées sur le toit. Ce sont les voisins qui les ont sauvées (lire l'encadré). Sept personnes ont été légèrement intoxiquées par les fumées et soignées sur place, une a également été blessée à la main. «Toutes les victimes ont reçu de soins sur place», précisent les pompiers. Un couple a été relogé à l'hôtel, les autres chez des proches ou des amis. Elles ont tout perdu dans l'incendie qui a ravagé les deux étages et le toit de cette bâtisse de caractère qui appartient à un propriétaire qui vit du côté de Lyon.


«Heureusement que nous avions une échelle»

«J'ai été réveillé par du bruit de bouteilles qui éclatent. Puis j'ai entendu crier, des appels à l'aide. J'ai ouvert la fenêtre, vu les flammes et les deux filles, coincées sur le toit !» En quelques minutes, Christophe Lucquin, un des gérants de l'hôtel Alizé, était dans la rue. «Nous avons l'obligation d'avoir une échelle en cas d'incendie et nous l'avons sortie. Un client est monté chercher les deux jeunes femmes. Heureusement parce que sans l'échelle, je crois qu'elles auraient sauté. Elles étaient terrorisées, bloquées par le feu. Et les secours ont mis un peu de temps à arriver. Enfin elles n'ont rien, comme les autres habitants de l'immeuble. C'est le plus important», apprécie Christophe Lucquin.

 

3 octobre 2012

accident grave

 

Le choc a été violent, l'impact est nettement visible sur le pare-brise - Tous droits réservés. Copie interdite.
Le choc a été violent, l'impact est nettement visible sur le pare-brise () 

Le choc a été violent, l'impact est nettement visible sur le pare-brise

Hier, vers 18h, rue André Bonnet à Montech, en plein centre ville, une voiture a heurté une dame de 59 ans, Marie-France Chamalet, qui s'apprêtait à traverser la rue sur un passage piéton. Son mari, à coté d'elle, a été retenu par son chien qu'il tenait en laisse et qui a dû sentir le danger. Le conducteur du véhicule aurait été ébloui par le soleil couchant. Devant la gravité de l'état de la victime, celle-ci a été transportée par hélicoptère sur un hôpital toulousain. Son pronostic vital était engagé. Habitant la commune, toute la famille était sur les lieux de l'accident, avec les pompiers de Montech, la brigade de gendarmerie et le SAMU très rapidement sur les lieux.

3 octobre 2012

agression

Romain, peu après son agression le 25 février 2012 à Eauze. () 

Romain, peu après son agression le 25 février 2012 à Eauze.

Une attitude peut-être déplacée a valu à Romain d'être frappé, le 25 février, dans et devant le Godet, à Eauze. Une réponse disproportionnée pour le tribunal qui a condamné hier les quatre personnes mises en cause.

«Je dansais. On était tous assez serré. Il y a eu une bousculade. Je me suis peut-être fait agressant pour certaines personnes.»

Romain le reconnaît, l'alcool aidant, il a peut-être été un peu trop loin le soir du 25 février 2012, sur la piste de danse du Godet à Eauze. Mais pour Me Prim, son avocat, ce n'était pas une raison pour que le maître des lieux lui mette un ou deux coups de poings dans le visage avant que son videur accompagne Romain dehors, le nez en sang. Ce geste de violence, qui n'a pas entraîné d'incapacité de travail, Éric, le salarié-gérant du Godet, l'a nié farouchement, hier, devant le tribunal. C'est des avocates de ses coprévenus qu'est arrivé le témoignage massue qui a amené le tribunal à le condamner pour sanctionner son acte contraventionnel d'une amende de 200€.

Car c'est là que démarre l'autre volet de cette affaire. Cathy dit avoir vu Romain sortir de la boîte le visage en sang ce soir-là. Mais elle dit aussi avoir été frappée par ce dernier, sur le parking, après qu'il a pointé l'index de sa main droite sur son front en prononçant des paroles incompréhensibles.

«Il est gaucher», n'a pas manqué de rétorquer Me Prim, pour mettre en doute sa parole. L'agression dont elle dit avoir été victime est pourtant corroborée par son petit ami, un maçon portugais âgé de 43 ans, qui a alors envoyé Romain au tapis en lui assenant deux coups de poing supplémentaires, suivi par Filipe et Joao Paulo, qui ont donné des coups de pieds au ventre et dans le visage de Romain. Bilan : trois fractures de la mâchoire et 25 jours d'ITT.

Très vite, hier pourtant, la victime est devenue l'accusé numéro 1.

Me Gomez, l'avocate d'Éric, a décrit un jeune homme «aviné», qui «éructait sur la piste de danse», un «chercheur d'histoires» qui avait cassé la glace des WC du Godet, six semaines plus tôt.

Me Danezan a mis à l'index le «chercheur de pagaille», estimant que la riposte de José, son client (en l'occurrence le petit ami de Cathy) n'était pas disproportionnée puisqu'il avait agi en situation de légitime défense pour aider sa copine. Quant à Me Lafforgue-Pène, elle a parlé d'un «contexte de xénophobie», jugeant que «cette provocation xénophobe» impliquait «une atténuation de la sanction» à l'encontre de son client, Filipe.

Romain soulagé au verdict

Se sentant attaqué de toutes parts, Romain s'est liquéfié sur son banc, laissant échapper quelques larmes, les mains rabattues sur ses oreilles pour ne pas entendre tout ça. Lui raciste ? Alors que sa fiancée est d'origine maghrébine et que son meilleur ami est noir ! Autant dire que le verdict a été un soulagement pour sa mère et lui lorsque Janine Brault a suivi les réquisitions du procureur en condamnant les trois amis au casier vierge à 4 mois de prison avec sursis et le patron du Godet à une amende, certes inférieure aux 600 € requis. Elle a donc considéré que la réponse des personnes mises en cause était disproportionnée dans cette affaire, quelle que soit l'attitude inconvenante de Romain. Elle a également donné suite à la demande de Me Prim qui a sollicité une expertise judiciaire avec la nomination d'un sapiteur dentiste pour préciser le coût de son appareillage dentaire et de son entretien tant que nécessaire. Mais elle a aussi indiqué que la responsabilité de la victime était engagée à hauteur d'un tiers sur le plan de la responsabilité civile, compte tenu de son attitude semble-t-il provocatrice.

Éric, José, Joao Paolo et Filipe devront donc lui payer les deux tiers de la somme qui lui sera accordée par le tribunal après expertise. Peu importe, pour Romain et sa mère, l'essentiel est qu'ils soient tous reconnus coupables, «et qu'ils ne recommencent pas à frapper quelqu'un comme ça».

Il faut attendre quelques jours pour que cette condamnation soit définitive. Les avocats de la défense réfléchissent à un appel éventuel.

 

3 octobre 2012

un jeune de 18 ans est mort

 

LISLE-SUR-TARN

Une trentaine de voyageurs étaient dans le train qui a heurté  la jeune fille./ Photo DDM, P. G. - Tous droits réservés. Copie interdite.
Une trentaine de voyageurs étaient dans le train qui a heurté  la jeune fille./ Photo DDM, P. G. () 

Une trentaine de voyageurs étaient dans le train qui a heurté la jeune fille./ Photo DDM, P. G.

Hier matin, vers 9h50, le train Toulouse-Rodez a percuté une jeune fille de 18 ans qui se trouvait sur la voie à hauteur de Lisle-sur-Tarn. La thèse du suicide est retenue.

Le drame s'est noué en quelques secondes. Hier, vers 9h50, le train régional 870050 en provenance de Toulouse a percuté une jeune fille quelques mètres après le passage à niveau 30, à la sortie de Lisle-sur-Tarn, au lieu-dit «Pont de la Pisse». Le conducteur, qui roulait à 124 km/h (en dessous de la vitesse réglementaire qui est de 130) ne l'a aperçue qu'au dernier moment. Il a enclenché le freinage d'urgence, en vain. Les secours se sont immédiatement rendus sur les lieux. Mais ils n'ont pu que constater le décès de la jeune fille. Agée de 18 ans, elle était domiciliée à Lisle-sur-Tarn.La thèse du suicide est retenue par les enquêteurs de la gendarmerie. Des élus de Lisle se sont rendus sur place. Ils ont eu la lourde tâche, avec la gendarmerie, d'annoncer la triste nouvelle à la famille. Aucun obstacle médico-légal n'ayant été posé par le médecin requis, le parquet d'Albi a ordonné que le corps soit rendu à la famille.

Reprise du trafic à 12h15

De leur côté, les services de la SNCF ont pris toutes les dispositions nécessaires pour sécuriser la ligne ferroviaire. Le train s'est immobilisé à une centaine de mètres. Un psychologue mandaté par la SNCF est intervenu auprès du conducteur de la locomotive. 31 voyageurs étaient à bord du train.

Après un instant d'incompréhension, ils ont pris conscience du tragique accident qui venait de se dérouler.

«Nous avons affrêté un bus qui les a conduits jusqu'à Carmaux», précisait, hier soir, le directeur de la communication de la SNCF. Le trafic était interrompu durant plus de deux heures. Des services de bus étaient mobilisés pour suppléer les trains bloqués à Tessonnières.

Le trafic reprenait aux environs de 12h15.Une fois que toutes les constatations sur le terrain étaient effectuées.

Le 22 septembre dernier, à Albi, c'est une femme âgée de 68 ans qui était décédée après avoir été heurtée par le train Rodez-Toulouse alors qu'elle se trouvait sur la voie, au passage à niveau de Gaillaguès.

En avril, toujours à Albi, un autre jeune de 18 ans s'était donné la mort sur une voie ferroviaire.

 

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3 octobre 2012

Villebrumier News

Après le vote FN, quelques réflexions


Nouvelles 82 n°400 du 25 mai 2012
24,5% de votes FN à Villebrumier m’amène à réagir !
Certes, l’électorat FN fonde sa motivation sur le racisme et la xénophobie, mais, à mon avis, pas seulement.Marine Le Pen a réussi à dédiaboliser partiellement son discours. On peut noter que les régions les plus touchées par ce vote ne sont pas celles où il y a le plus d’immigrés ou d’étrangers.
Selon un sociologue, le fort taux de vote extrême droite touche l’espace peri-urbain considéré comme « subi » par une population qui n’est pas pauvre, issue des quartiers urbains venue s’installer là à cause du coût de construction. Ce sont des employés et ouvriers qualifiés, souvent peu diplômés, formant une ‘classe moyenne basse’ Donc ces couples, qui ont parfois en tête des a priori négatifs sur l’immigration, qui se sont lourdement endettés, qui éclatent de plus en plus au demeurant, se retrouvent dans une zone-galère, loin du lieu de travail, sans transports en commun, souvent dans un environnement où les liens sociaux se distendent. Le rêve de citadins à la campagne se transforme en cauchemar, nourrit la frustration et le vote FN.
Ce vote vise à faire bouger les choses : bien des citoyens sont déçus par les « politiques » qu’ils mettent volontiers tous dans le même sac, ils expriment un désir de sécurité (à la fois matériel : peur des voleurs et pour l’avenir : spectre du chômage, de la réussite des enfants…), ils souffrent de la mal-vie, ils contestent la construction européenne qui ne tient pas compte de leur avis majoritaire, etc
            Bien sûr, il faudrait s’interroger plus en profondeur sur les raisons de ce choix en liaison probablement avec certaines déclarations de dirigeants politiques (Guéant…) et sur le rôle des médias (curieux comme les Unes du journal local sont souvent consacrées aux faits divers tragiques…) pour analyser les schémas de pensée qui recyclent les thèmes d’extrême droite. Surtout, il ne faut pas attendre les prochaines échéances électorales pour se plaindre du vote FN maisengager rapidement une réflexion citoyenne large et approfondie sans tabou afin de cerner les questions que se posent les gens dans leur diversité.
Cette réflexion, selon moi, devrait porter sur tout le champ environnemental, des inquiétudes les plus quotidiennes ( l'état des rues du village...) aux grands sujets (le nucléaire, l’emploi...): « Penser globalement, agir localement » est une formule qui me convient!
        J'ai le sentiment que dans nos villages, suite aux profondes mutations sociologiques, un fossé s'est creusé entre les populations et les élus locaux, les uns ne percevant pas les motivations des autres et vice versa. A mes yeux donc, le vote Le Pen en particulier résulte d'un déficit de démocratie, une démocratie exercée « en bas », car ce que nous proposent les médias avec leurs spécialistes multi-cartes , ça ressemble à de la démocratie mais ce n'est pas de la démocratie!
 

 

3 octobre 2012

Mme Barège

La vérité sur la gestion de Montauban et du Grand Montauban

Nouvelles 82 n°401 du 12 juin 2012
Mme Barèges annonce qu'elle s'appuiera sur son bilan pour sa campagne législative. Elle dit à qui veut bien l'entendre qu'elle a fait deux fois plus d'investissements que les municipalités de gauche, tout en désendettant la ville, et sans augmenter les impôts!
Tout ce discours est une tromperie, car ce qu'elle ne dit jamais, c'est que le transfert des compétences (voiries, habitat, transports) à l'agglomération lui permet de faire tous les emprunts (et donc la dette) au nom de l'agglomération sans que personne ne le voit (ou presque). Et ce sont des millions d'euros que les montalbanais devront rembourser un jour.
 
Quelques chiffres: Lorsqu'elle prend la mairie en 2002, la ville plus l'agglo ont 81 millions de dette.
En 2012, le cumul atteint presque 108 millions (près de 44 pour la ville et plus de 63 pour l'agglo), soit 27 millions de plus! La ville est endettée à 66%, mais l'agglo l'est à 145,91%. Alors que l'agglo a 20 millions de recettes en moins que la ville, elle a 20 millions de dette en plus! Ce qui fait que chaque habitant de Montauban qui avait 1488 € de dette cumulée en 2002 a aujourd'hui 1663 € de dette!
Alors non, Mme Barèges ne désendette pas les Montalbanais, bien au contraire.
Et ce n'est pas fini! Car des projets aussi coûteux que le centre aquatique (25 millions), le boulevard ouest, la LGV, le réaménagement de Villebourbon, les voiries de Bas Pays, les berges du Tarn... vont venir s'ajouter d'ici la fin du mandat.
Au rythme actuel, l'endettement atteindra au moins 120 millions en 2014, date des prochaines élections.
 
Montauban et l'agglo: une population modeste
Tout cela serait supportable si la ville comme l'agglo en avaient les moyens! Mais ce n'est pas le cas. Plus de la moitié des foyers est en dessous du seuil imposable. La ville a des recettes qui croissent très lentement malgré l'apport de nouvelles populations. La recette moyenne par habitant est de 1139 €, contre 1409 € de moyenne nationale.
Mais l'agglo a gagné près de 10 000 habitants en quelques années (entrée de Bressols, et croissance de toutes les communes), ce qui fait surgir de nouveaux besoins (écoles, crèches, transports, voiries, équipements sportifs, de santé, …).
 
Le choix des investissements et des privatisations
Mme Barèges s'en remet au privé pour de nombreux investissements ou pour la gestion, par délégations de services publics, ou en laissant l'initiative aux entreprises et aux entrepreneurs.
Exemples: Les délégations au privé des gestions du tennis, du golf, du crématorium, des ordures ménagères, des déchetteries, de l'eau, de l'assainissement, de port Canal...
Et les constructions privées de deux maisons de retraite, deux crèches, une école à moitié payée par Auchan... Sans compter les personnels passés au privé avec les services, les biens immobiliers vendus... Et malgré tout cela, pas d'économies ni de réduction de la dette, on l'a vu! Mais des réalisations de prestige, très « tape à l'oeil » ou réservées à la tranche la plus aisée de la population.
 
L'analyse de Montauban Citoyenne et de ses élus
L'association Montauban Citoyenne suit cette évolution depuis des années. C'est pourquoi elle a choisi de communiquer le résultat de son analyse au public. Car les habitants ne doivent plus être dupes des discours de l'actuelle municipalité. En plus, ils doivent savoir que les choix de gestion de Mme Barèges engagent leur avenir pour plusieurs décennies (jusqu'à 34 ans pour certains contrats).
Et nous n'accepterons pas le discours de l'UMP selon lequel la dette et la situation de la France sont dues à la gestion des collectivités de gauche!
Pas de double discours, s'il vous plaît: La dette ne peut pas être mauvaise pour les uns, et bonne pour tenter de se faire réélire en présentant des réalisations à crédit pour d'autres!
Voir le dossier de la dette: http://www.montauban-citoyenne.com
 
3 octobre 2012

salut

Voici le news du jour:

 

Dans le quartier des chaume a Montauban,un nouveau comissairia a ouvert ces portes hier.

Pour les jeunes de la cité sa a été terrible.Car les fête du soir,les accés de vitesse,les conduites en état d'ivresse ses fini.

 

Les policiers travaillent de nuits,sauf quelques un qui travaillent le jours.

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